Il est bien connu que le chien est le meilleur ami de l’homme. Mais c’est aussi le meilleur atout du chasseur pour débusquer faisans, lièvres, chevreuils, sangliers et autres gibiers. Devenu au fil du temps un complice indispensable à la pratique cynégétique, le chien est d’ailleurs, soit dit en passant, l’une des principales motivations des jeunes femmes pour passer le permis de chasser. Sachant que les chasseurs sont pour la plupart propriétaires d’auxiliaires à quatre pattes, il nous semblait important, à travers cet article, de parler de la santé de votre animal.
Pour plus de 95% des jeunes chasseurs, pas de chasse sans chiens ! La richesse des races, l’évolution de certains standards, les qualités ainsi que les multiples modes de chasse existants permettent à chaque chasseur de trouver le partenaire idéal adapté à sa pratique. Pourtant, la santé de nos compagnons est parfois mise à rude épreuve. Outre les risques de blessures (charge d’un sanglier au ferme par exemple), il est vital pour chaque maître de surveiller la santé de son canidé. A ce sujet, en cas de maladie ou d’accident, souscrire une assurance pour son compagnon ou sa meute comme en propose le site toutoupourlechien est fortement recommandé.
Des risques multiples à ne pas prendre à la légère
Au sein du foyer, comme à l’extérieur, nos chiens ont, en premier lieu, des plantes plus ou moins toxiques à portée de gueule. Un risque potentiel non négligeable. En cas d’ingestion, et dans la grande majorité des cas, le chien présentera des troubles d’ordre digestifs et gastriques, pouvant être accompagnés de vomissements, diarrhées, troubles cardiaques, problèmes rénaux et tremblements. Dans pareils cas, une visite chez le vétérinaire s’impose !
Durant sa carrière, le chien de chasse traverse plusieurs périodes, marquées par son âge, et son expérience, auxquelles il faut porter attention. Une bonne santé, tout comme des aliments de qualité présents dans sa gamelle, lui permettra de vieillir confortablement. Outre les différentes vaccinations indispensables (votre chien est en effet amené à être au contact d’agents infectieux dangereux dans la nature), et, comme pour les humains, des traitements complémentaires aident entre autre à lutter contre la diminution progressive de l’acuité auditive de votre chien, contre l’arthrose, ainsi que contre les parasites.
N’oubliez pas également que la bonne santé de Médor se trouve aussi dans la quantité d’eau bue : l’eau, c’est aussi la vie pour lui, sachant que le besoin hydrique quotidien s’élève à 1 litre pour un chien de 20 kilos. Enfin, pensez qu’une bonne hygiène bucco-dentaire sera indispensable pour éviter à votre toutou de futurs problèmes.
Un bilan de santé complet en fin de saison : une nécessité pour chaque chien
Le chien, tout comme l’homme, n’est pas éternel. Ainsi, je suis persuadé qu’au fil des saisons vous percevez progressivement le vieillissement de votre complice. Il est d’ailleurs intéressant de constater que c’est entre 8 et 10 ans que l’on détecte les premiers signes de vieillesse chez le chien. Alors, à chaque fin de période cynégétique, n’hésitez pas à effectuer un bilan de santé chez un professionnel, surtout si, au cours de vos sorties, vous relevez une fatigue anormale, une toux à l’effort, une perte de poids, ou des sauts dans la voiture compliqués.
Merci pour le tutoriel!